La présence active des femmes iraniennes dans divers domaines a érodé les idées réactionnaires et montré que l'islam, et en particulier la jurisprudence chiite, a défendu les droits des femmes de la meilleure façon.
La femme iranienne a compris un changement fondamental en deux temps : le premier changement a eu lieu avec l'avènement de l'islam et le second est le changement qui s'est produit dans le destin de la femme iranienne avec l'avènement de la révolution islamique. Le prophète de l'islam, Mohammad (Que la paix de Dieu soit sur Lui et sa Famille immaculée), a dit :
"Les filles sont une source de miséricorde, de bonté de vie et de bénédictions[1]".
Grâce à ces deux périodes, la femme iranienne est passée de l'esclavage et de la souffrance au sommet de l'honneur et de la fierté, et la femme iranienne est dans sa période de croissance et de prospérité.
Sans aucun doute, la révolution islamique a entraîné un changement fondamental et profond de la situation des femmes dans la société iranienne, élevant leur véritable statut et élargissant la portée de leur participation. L'Imam Khomeiny ne considérait pas la femme comme une manifestation de tromperie et d'espièglerie, mais comme la source de la charité et du bonheur, et voulait utiliser l'existence de la femme dans la promotion et l'excellence de la société. Il considère le hijab comme un moyen de préserver la personnalité féminine, le progrès de la société et de l'éloigner de la vulgarité, et estime qu'en maintenant le hijab, les hautes valeurs humaines sont préservées et les normes spirituelles de la société augmentent. L'imam Khomeiny dit :
"Aujourd'hui, les femmes doivent remplir leurs devoirs sociaux et religieux, maintenir la décence publique et faire un travail social et politique sur cette décence publique[2]".
La présence des femmes dans les universités après la révolution a atteint un point où le nombre de femmes admises dans de nombreux domaines était beaucoup plus élevé que les hommes, et ces dernières années, nous avons vu la présence de femmes ministres et vice-présidentes dans le cabinet de la République islamique, ce qui montre ce haut niveau de participation sociale.
Notes M
[1]- Ali ibn Abd-al-Malik al-Hindi, kanz al-ʿummāl, vol. 16, p. 454. البنات هن المشفقات المجهزات المبارکات
[2]- Imam Khomeiny, sahifeh, vol. 13, p. 193.