L'imam Khomeiny a construit son mouvement islamique sur la base de l'école Ahl al-Bayt, et le martyr Soleimani était un élève de cette école
Un exemple exceptionnel : Le XXe siècle a été le siècle des grandes révolutions, et l'une des plus importantes et des plus grandes de ces révolutions est la révolution islamique d'Iran. Une révolution dont les effets et les conséquences politico-culturelles ne se sont pas limités à ce pays et ont également traversé les frontières de la région de l'Asie du Sud-Ouest.
L'un des points remarquables de la révolution islamique est que, contrairement à ce que pensaient les ennemis de la révolution, le passage du temps n'a pas pu réduire ses effets, et bien qu'il y ait eu des intensités et des faiblesses à cet égard, il y avait toujours continuité.
Après cinq décennies de règne Pahlavi en Iran, au cours duquel la religion était séparée de la politique et les manifestations religieuses se sont opposées dans les affaires sociales et politiques, l'imam Khomeiny (que Dieu lui fasse miséricorde) a de nouveau relancé l'école de l'islam et établi le système islamique basé sur celle-ci.
Un exemple exceptionnel
Pour cette raison, il a essayé de faire revivre le concept d'école islamique et d'école Ahl al-Bayt (que la paix de Dieu soit sur eux) dans la société iranienne.
Le martyr Soleimani a fait ses études à l'école de pensée de l'imam Khomeiny et à l'école Ahl al-Bayt, et il a passé toute sa vie à cultiver et à apprendre dans ces écoles.
Le guide suprême de la révolution a dit:
Il était un exemple exceptionnel de ceux qui ont été éduqués dans l'Islam et à l'école de l'Imam Khomeiny, il a passé toute sa vie dans le djihad dans la voie de Dieu.[1]
En fait, la vie de ce martyr peut être considérée comme l'incarnation de ce verset honorable du Saint Coran. Allah a dit dans le Saint Coran :
Ne pensez pas que ceux qui ont été tués pour la cause d’Allah soient morts, mais au contraire ils sont vivants, menant une vie qu’Allah seul connaît ; et ils trouvent auprès de leur Seigneur des biens que Lui seul connaît.[2]
Notes :
[1]- Ali Khamenei, 1398/10/13.
[2]- Coran (3:169). وَ لاٰ تَحْسَبَنَّ اَلَّذِينَ قُتِلُوا فِي سَبِيلِ اَللّٰهِ أَمْوٰاتاً بَلْ أَحْيٰاءٌ عِنْدَ رَبِّهِمْ يُرْزَقُونَ