Les responsables occidentaux en sont venus au fait qu'il n'est pas possible de changer le régime de la République islamique.
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Soyons clairs, je ne crois pas une seconde au changement de régime, et quand j’entends beaucoup de gens appeler à un changement de régime, je leur demande : Pour quel changement ? Qui est le prochain ? Qui est votre chef ?
La récente rencontre de Macron avec un certain nombre de personnalités séparatistes anti-iraniennes à Paris, après laquelle il a qualifié les émeutes iraniennes de "révolution", a été un virage précipité que le président français a montré.
Le président français a retiré son soutien à la politique de "changement de régime" au lendemain d'une rencontre avec le représentant de l'opposition. Hier, il a fait un retrait drastique de son récent soutien à ces groupes subversifs.
En marge de la Conférence de Munich sur la sécurité, en réponse à une question sur ses vues sur les alternatives possibles de l'opposition au régime de la République islamique, le président de la France a indiqué qu'il ne croyait pas au succès du changement de régime.
Il y a deux mois, Macron a décidé de venir en aide aux courants qui mènent des troubles, pompent des rumeurs et des fausses nouvelles et prennent des mesures dans le sens de dévier l'opinion publique de l'Iran et se sont fixé comme objectif principal de changer le régime et de diviser l'Iran.
Un virage précipité
Soutenir la minorité anti-iranienne à l'étranger, c'est comme parier sur un cheval perdant qui ne laisse aucun chemin de retour aux pays qui la soutiennent.
Le fait que le président de la France, quelques semaines après son soutien inconditionnel aux partisans du changement de régime en Iran, le considère comme une politique ratée, ne prend tout son sens qu'en lien avec les prises de position récentes des hommes d'État de Washington.
L'évaluation de "Biden" est que le changement de régime en Iran est une étape très loin et inacceptable, de sorte que les décideurs du gouvernement américain ont déclaré "qu'ils n'aiment même pas parler de l'idée d'une telle politique". De cette manière, "Politico" avait prédit que cette stratégie de "Biden" changera probablement les positions et la désillusion d'autres pays et décevra de nombreux militants qui ont poursuivi l'objectif de changer la révolution islamique iranienne au cours de la période récente.