Les vertus du hidjab sont bien définies dans les paroles de l'Imam Sadiq, la paix soit sur lui, et il présente un modèle pour une femme modèle, qui est le meilleur exemple pour une femme musulmane.
Les impératifs stratégiques du hidjab : Dans la société d'aujourd'hui et surtout ces derniers jours, la discussion sur le hidjab a pris une importance particulière et ses différents aspects sont à l'étude. Nous exprimons les mérites du hidjab de la femme musulmane chiite du point de vue de l'Imam Sadiq (que la paix de Dieu soit sur lui).
Le hidjab inapproprié qui est perçu dans la société iranienne en tant que pays islamique blesse le cœur d'une personne engagée dans l'islam. L'Imam Sadiq (as) dit :
Il n'est pas approprié pour une femme musulmane de porter un foulard qui ne couvre pas son corps.[1]
Une femme qui sort avec un maquillage et un hijab inappropriés et qui apparaît dans la société attire l'attention de son entourage.
Ce type d'attention est nocif pour la société de plusieurs manières :
- Il y a plus de possibilités d'abus par les profiteurs.
- Les gens qui ont une piété ferme et forte sont gênés en voyant de telles scènes.
L'Imam Sadiq (as) dit :
Il n'est pas approprié pour une femme musulmane, lorsqu'elle sort de la maison, d'utiliser ses vêtements comme un moyen d'attirer l'attention des autres.[2]
Les impératifs stratégiques du hidjab
Il est bien entendu de ce hadith que l'utilisation de petits vêtements et de foulards inappropriés pour le hijab d'une femme n'est pas une nouveauté, mais à cette époque, l'Imam avait déclaré que cela ne convenait pas au hijab. Ces types de vêtements sont les outils de la tromperie et de la perversion de Satan.
Les femmes de notre société devraient chercher un modèle qui puisse leur procurer du bonheur. Fatima Zahra (as) est le meilleur modèle dans ce domaine.
En conséquence, une femme musulmane devrait porter le hidjab et la couverture qui lui conviennent, et dans sa vie, elle devrait définir une personne comme son modèle qui peut lui apporter le bonheur.
Notes :
[1]- Ameli, vasaïl shia, Vol. 3, p, 281.
[2]- Koleyni, asoul kafi, Vol. 5, p. 519. لا يَنْبَغى لِلْمَراَةِ اَنْ تُجَمِّرَ ثَوْبَها اِذا خَرَجَتْ مِنْ بَيْتِها