Malgré l’instauration d’une gouvernance intelligente dans l’espace scientifique et universitaire de l'Amérique dans laquelle les partis politiques sont toujours actifs et dominent.
Mais la formation du mouvement de défense de la liberté de la Palestine a pu briser les dures carapaces tissées les unes après les autres sur les universités et émerger dans son environnement étouffant.
Amérique peut être considérée comme l’un des pays les plus performants qui a pris des mesures intelligentes pour créer un équilibre et une coexistence entre la démocratie et les intérêts américains.
Au fil des années, ce pays s'est comporté en concevant des mécanismes étendus et complexes de telle sorte qu'en principe, le motif et l'ampleur de la violation des idéaux américains semblent très difficiles et impossibles au point que le corps social américain, bien que cela soit inévitable, de se comporter dans les cadres imposés. En même temps, il a le sentiment que sa liberté et ses droits de citoyenneté ne lui ont pas été retirés!
Hégémonie de l'Amérique et l'échec universitaire
Parmi les choses prévues et planifiées c'est que la démocratie et la liberté d'expression ils doivent garantir les intérêts de l'Amérique c’est-à-dire ils ne doivent pas léser aux intérêts de l'Amérique ; Par conséquent, les relations entre l’université et les élites avec les parties du pouvoir en Amérique doivent être considérées dans ce contexte. La structure éducative américaine est conçue de telle manière que le milieu universitaire est indirectement entre les mains de centres dont la fidélité aux valeurs américaines n’est plus à démontrer.
Aujourd’hui, en étudiant certaines questions annexes, la manière dont les universités sont financées et comment elles fonctionnent, nous pouvons comprendre comment la conception systématique des relations entre l’université et le pouvoir peut jouer un rôle important pour maintenir les environnements universitaires au diapason de la pensée américaine.
Il suffit de savoir qu’il n’existe pratiquement pas d’université publique en Amérique ; Les universités sont plutôt gérées grâce à des dotations, des subventions gouvernementales et du secteur privé. Les étudiants les moins riches ne pourraient en aucun cas se permettre d’étudier à Harvard sans subventions massives de l’université.
Outre les besoins des étudiants et leur dépendance totale à l'égard des dons caritatifs et des modalités de financement de l'université, la question de la relation intimement liée entre l'université et le lieu de travail - qui est principalement entre les mains de grands cartels d'affaires - est un autre facteur qui rend la carrière de chaque étudiant dépend de l'approbation de l'université. Ce type de relation complexe a amené les autorités universitaires à rester à l'écart de l'indépendance académique et à ne pas oublier leur dépendance à l'égard des supérieurs et des centres extérieurs à l'université.
Aujourd’hui, compte tenu des problèmes susmentionnés du système d’enseignement supérieur américain, nous pouvons comprendre l’importance du travail des étudiants américains, dont ses noms sont désormais mis sur liste noire par le gouvernement. Ils sont sur le point de créer un mouvement qui accélérera le nouvel ordre mondial malgré un système de contrôle et de répression très compliqué et déroutant.