Le changement dans la vie familiale : Avec leur naissance, les enfants ouvrent des horizons lumineux devant leurs parents et provoquent des changements dans la vie familiale.
Dans certains cas, le désir d'avoir un enfant est un motif de mariage. Le pourcentage de personnes dans le monde qui souffrent de ne pas avoir d'enfants est important.
Pour que les couples répondent à leurs attentes et à celles des autres et atteignent les valeurs et les objectifs nécessaires à une vie heureuse, ils doivent essayer d'avoir un enfant, ce qui renforce le respect du couple.
Pour que les couples répondent à leurs attentes et à celles des autres et pour atteindre les valeurs et les objectifs nécessaires à une vie heureuse, ils doivent essayer d'avoir un enfant, ce qui, à son tour, renforce le respect de soi du couple. . Par conséquent, l'un des rôles positifs d'un enfant dans la famille est de répondre aux attentes des parents et des autres et de créer et de renforcer leur estime de soi.
Certains croyaient que le meilleur âge pour avoir des enfants était la première ou les deux premières années de la vie; Parce que la naissance d'un enfant renforce le respect des parents.
Le changement dans la vie familiale
Cette recherche a montré que non seulement les jeunes couples étaient encouragés à avoir des enfants par leurs parents, mais aussi les amis et les voisins insistaient pour qu'ils se marient et aient des enfants.
Ainsi, pour répondre aux attentes de la société et des proches, la présence des enfants dans la vie familiale apparaît nécessaire. Malgré cela, les traditions et coutumes sociales ont un impact important sur les attentes des parents et des autres vis-à-vis des jeunes couples. Selon les enseignements religieux, les familles avec enfants sont plus respectées que les familles sans enfants.
Le prophète de l'islam, Mohammad (que la paix de Dieu soit sur Lui et Sa Famille), a dit :
Aucun fils n'est né dans aucune famille, à moins qu'ils n'aient trouvé un honneur qu'ils n'avaient pas auparavant.[1]
Note :
[1]- hekmat name, Rishahri, Vol. 7, p. 208. ما وُلِدَ فی أهلِ بَیتٍ غُلامٌ إلّا أصبَحَ فیهِم عِزٌّ لَم یَکُن