Pratiques religieux

Étant donné que nous sommes pendant la période du pèlerinage, il est impératif d’avoir certaines connaissances sur les rituelles de l’un de cinq piliers de l’islam. En effet, hormis ce que nous avions expliqué dans les articles précédents, nous parlerons dans cet article des types de pèlerinages.

La prière de consultation (d’istikhara) est définie  comme « la demande d'une consultation à Allah pour qu'il nous aide à choisir ce qui est le mieux pour nous, elle nous permet de consulter Allah sur nos choix et ainsi, d’éviter certaines erreurs ».

Le pèlerinage est l'un des piliers les plus importants de l'islam et l'un des plus grands devoirs religieux. Son obligation fait partie des nécessités et sa négligence - en connaissance de cause - est un péché majeur. Le pèlerinage  est obligatoire pour toute personne remplissant les conditions, une fois dans sa vie.  

Acheter la maison ou partir au pèlerinage

Question

L’une des conditions du pèlerinage est la capacité, cette condition est constituée de quatre vole

Ces quatre conditions sont requises pour que le pèlerinage soit obligatoire pour un musulman  ou

QUESTION

Le cannabis est-il  impur? sa  consommation est-elle prohibée et haram?

Au cours de la récitation du Dua, le Croyant qui prend conscience de sa dépendance totale à l’égard de Dieu et reconnaît son impuissance devant Sa Toute-Puissance, implore le Seigneur pour qu’II satisfasse ses besoins les plus immédiats et les plus lointains, mais le recours au Dua, ne doit nullement nous conduire à croire que nous pouvons nous cantonner dans un attentisme passif et dans l’inaction totale en comptant sur Dieu pour résoudre nos problèmes et satisfaire nos besoins.

Le hijab devient obligatoire à l’âge de la puberté.

Le vernis à ongles entrave-t-il les ablutions et le bain rituel?

Selon la majorité des oulémas, une femme enceinte des suites de la fornication peut se marier avec celui qui l’a mis enceinte (le fornicateur) ou avec toute autre personne de son choix sans attendre son accouchement ou l’arrêt de sa grossesse.

Selon l’unanimité des oulémas, une femme enceinte des suites d'un mariage valide et légal ne peut se marier qu’après son accouchement ou après l’arrêt de sa grossesse. Par conséquent, l’union islamique célébrée en ayant connaissance que la femme est enceinte des suites d'un mariage valide est nulle et non avenue.